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 Savannah - i cant tell how this last song end

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MessageSujet: Savannah - i cant tell how this last song end   Savannah - i cant tell how this last song end EmptyDim 12 Aoû - 23:02


Nom et prémon




    âge : 17 ans
    Nationalité : californienne
    Rang : humain avec don
    Groupe : ma beauté t'éblouie



Caractère
Savannah, c’est une de ses personnes que l’on croisera rarement seule, à moins qu’elle ne le décide. Elle s’adapte en général à tout le monde, sait adopter le bon comportement avec telle ou telle personne, même si elle ne l’aime pas. Parce qu’en réalité, elle se force, rien ne l’obligerait à faire cela, à devenir la personne que chacun veut qu’elle soit. Son véritable monde est emplit d’ombre, et chaque jour, elle tombe. Elle tombe jusque dans les abysses et son cœur se noie de plus en plus dans les larmes qui ne coulent pas sur son visage. Qui est la jeune fille en réalité ? Peu de personnes ont le privilège d’avoir la réponse à cette question. La vraie Savannah est constamment calme, et n’est pas souvent amusé, ces sourires qu’elle peut affiché en réponse à une blague sont las, mais elle se doit de les montrer, pour que le vernis qui protège la véritable jeune fille ne craque pas, la rendant alors vulnérable à tous. Elle est comme un animal sauvage, on ne s’impose pas à elle, et si par malheur, vous essayez de l’attraper, elle ne s’enfuit que plus loin. Elle n’est pas à sa place dans ce monde. Mais alors, ou devrait-elle être ? Elle n’en sait rien, et parfois, elle part, s’enfuit dans un recoin de son esprit, là ou personne ne pourra la déranger avant qu’elle ne le décide. Dans ces moments-là, la bande d’amis disparaît, rejetée car elle n’a pas sa place dans son véritable monde. Depuis quand Savannah est-elle ainsi ? Triste ? C’est un grand mystère, mais chaque jour, elle se perd elle-même et ne finira bientôt par n’être plus personne. N’existe-t-il personne capable de lui tendre une main chaleureuse pour l’aider à sortir de ce fossé qui se creuse entre elle et la vie ? Il suffirait pourtant, de se mettre à sa hauteur et de comprendre ce qui se passe dans sa tête, de pouvoir la protéger contre ses démons intérieurs… Elle a peur, de tout ces gens qui lui rappelle son passé, des mensonges… Il suffit que quelqu’un fasse un geste brusque trop près d’elle pour que son masque tombe d’un coup, et à ce moment-là, elle a peur. Mais personne ne semble essayer de la réconforter vraiment, eux, tous ce qu’ils veulent, c’est qu’elle redevienne ce mensonge dont ils ont l’habitude, alors ils se bouchent les yeux, et ne veulent pas la comprendre, c’est bien pour cela, que la Savannah originelle reste là ou elle est.


Physique
Tout en lignes courbes, délicates et sensuelle. Savannah, beauté exotique, aussi délicate qu’une pierre précieuse. Une peau claire certes, mais qui n’est ni porcelaine, ni hâlée, que l’on remarque douce si on a la chance de l’effleurer, de la toucher, de passer la barrière qu’elle s’est construite. Son sourire est un rayon de soleil venu se glisser entre les nuages par jour de pluie. Un joli visage, des pommettes hautes, une bouche rosée délicate et pleine et un nez parfaitement droit. Des yeux verts hazel attrayants, ensorcelants, encadré par des cils longs et voluptueux. Jamais de maquillage, au grand jamais, les larmes le feraient couler, et, une femme n’est-elle pas sublime au naturelle si elle possède une réelle beauté ? Ses cheveux lui arrivant jusqu’en bas de la poitrine, d’une couleur roussâtre, flamboyants, attirant forcément l’œil au milieux d’une foule, sont sa grande fierté. Ne dit-on pas que les cheveux sont la chose la plus précieuse pour une femme ? Savannah a le corps digne d’une jeune fille de son âge, proportionnée à l’idéal, fin et élancé, ne pouvant que faire naitre du désir chez un homme, et c’est ce qu’elle déteste le plus. La demoiselle aime ce qui ne porte aucun artifice, si bien qu’il est rare de la voir porter des bijoux, et cela se ressent aussi dans ses tenue : simples et généralement belle en elle-même.


Histoire
l y a tant de choses que j’ai l’impression d’avoir manqué. Tant de moment que j’aurais voulut oublier, que, je n’aurais jamais voulut vivre. Tant de chemin que j’aurais préféré ne pas avoir emprunté et à l’inverse, beaucoup que j’ai manqué alors qu’ils étaient certainement ceux que j’aurais toujours souhaité prendre. Les regrets sont ce qui détruit une personne le plus facilement. Mais suis-je détruite ? Oui. Des morceaux de moi ne sont plus, alors j’ai essayé de les combler, en vain.
Mon enfance se constitue de trois visages essentiellement. Elle, ma mère, lui mon père et le garçon, je ne sais pas vraiment, si oui ou non, c’est véritablement mon frère. Aucune place ne lui est destinée dans mon cœur. Alors qui est-ce ? Un parfait inconnu.
Elle, était aimante, douce, sereine. Je ne l’ai jamais entendue se plaindre, même quand il levait la main sur elle. Certains jours, je lui en voulait, de le laisser lui infliger cela, d’accepter le traitement qu’il lui resservait. J’ai compris en grandissant, que c’était la seule manière pour elle de protéger ce qu’il lui était cher. De protéger son enfant, son unique fille. Aujourd’hui, je me sens honteuse d’avoir un jour ressentit de la haine pour celle qui était ma mère.
Lui, était brusque, violent et grossier. Il ne m’aimait pas, tout simplement parce qu’il ne pouvait pas admettre qu’une femme aime plus son enfant que tout autre chose au monde. Cependant, il ne faisait rien pour que l’inverse arrive. Il lui arrivait de lever la main sur ma mère, souvent, et pour rien. Pour une tâche mal nettoyé, pour la pluie qui coulait sur les vitres, pour les jours ou elle oubliait de se réveiller pour le réveiller. Étrangement, je n’ai jamais eu peur de lui, mais seulement, de ses actes. Si mon père était capable de cela, alors ce monde n’était pas pour moi. J’aurais aimé qu’il soit aussi aimant que ma mère, que ma jeunesse ne soit pas emplit des bruits sourds qui résonnait dans la maison dès qu’il frappait ma mère, ou alors, qu’au moins, elle crie. Car je crois, que c’était cela le plus dure. Le fait qu’elle encaisse tout sans rien dire, sans qu’un sons ne franchise ses lèvres, et sans qu’aucune larme ne coule sur ses joues, à l’inverse des miennes. Pourtant, je ne me souviens pas qu’il ait levé la main sur moi, ou sur mon frère. Mon demi-frère du moins, car ce n’était pas le premier mari de ma mère. C’était rangeant. Rangeant de savoir qu’elle avait quitté un homme pour l’amour d’un autre. Qui la battait.
Mon frère, ayant du voir toutes ses scènes, et ayant grandit avec, considérait les femmes comme des objets. Pourquoi ne pouvait-il pas les toucher alors que son père le faisait ? Il me donnait envie de vomir. Et j’évitais de le croiser au sein même de ma maison.
J’ai vite appris que si je voulais avoir des amis, je ne devais mettre de côté ma tristesse, alors je cachais mes sentiments pour elles. Je le fais toujours d’ailleurs. Je mentais sur ce qui se passais chez moi, et je me sentais si bien à l’école, là ou je ne risquait pas de ressentir de la cruauté. Et je me trompais. Qui y a t-il de plus cruel qu’un enfant ? Je ne sais pas. Je n’ai jamais été victime de brimade, et j’étais plutôt entourée, mais je les voyais, les victimes différentes défiler sous mes yeux. J’aurait pu les aider qu’une quelconque manière, mais je n’ai rien fait. Je pense que, c’est à ce moment là, que les ténèbres sont venues m’engloutir. Je ne me sentais plus à ma place dans ce monde, mais j’étais trop lâche ou trop courageuse pour le quitter. Alors, même si la vraie Savannah sombrait chaque jour, je souriais, je souriais, et j’attendais. Quoi ? Je ne sais pas. Je ne le sais toujours pas, parce qu’aujourd’hui encore, je souris, je souris… Et j’attends que le sortilège se brise. Que je me réveille pour découvrir que tout cela n’est juste qu’un mauvais rêve, et que, personne ne se bat dans le monde où je vis, personne n’est blessé, et tout le monde vit sereinement.
Mais il me restait encore ma mère, alors je m’accrochais à elle pour rester à la surface, l’aidant du mieux que je pouvais au quotidien même si je ne pouvais pas empêcher cet homme de la toucher. Un jour, le piano s’est imposé à moi. J’avais l’oreille absolue, alors, je n’avais pas besoin de me prosterner devant l’homme qui habitait avec moi pour jouer de l’instrument. Je restais quelques heures dans la salle de musique de mon école, et je jouais, je devenais quelqu’un d’autre, je m’en allais loin d’ici. J’emmenais ma mère avec moi, et nous vivions en paix.
Pourtant, je n’avais pas encore vécut le pire. Mon frère tourna autour de moi dès que mon corps se transforma. Je les détestaient, lui, mon père et mon corps, le premier parce qu’il s’était laissé devenir un monstre à cause du second, le deuxième pour tout ce qu’il était et tout ce qu’il faisait et le dernier, parce qu’il était à présent convoité par mon propre frère. Il m’arrivait de faire des cauchemars, mais étrangement, mes rêves étaient généralement heureux, sans doute parce que mon esprit avait bel et bien compris qu’il ne me restait que ce monde-là pour m’échapper. Le jeu de l’adolescent devint de plus en plus sérieux, mais il ne le l’exécutait que lorsque nous étions seuls ou bien en dehors de la maison. Personne n’aurait jamais cru que nous étions relaté par le sang si nous n’avions pas porté le même nom de famille. Notre physique était différent de part et d’autre, il ressemblait à son père et moi à notre mère et à celui qui m’avait crée avec elle pour que je puisse admirer la violence dont il faisait preuve. Cependant, je ne laissais aucune faille dont aurait pu profiter mon frère, et c’est justement ce qui l’attirait, je pense. A moins que ce ne soit parce qu’il me croyait faible et raison de ce que je voyais ? Et c’était vrai, mais je faisais de mon mieux pour ne pas lui montrer. La seule fois ou j’ai pleuré devant lui, fut bien quand il m’avait plaqué contre un mur, serrant mes poignets jusqu’à ce qu’il s’en fasse blanchir les articulations. Juste pour m’arracher un baiser. Ce n’était pas du désespoir ce jour-là, mais ma haine s’était transmise dans mes larmes. Je me souviens l’avoir mordu pour échapper à son emprise, mais c’était trop tard. Il avait pris ces sanglots pour de la faiblesse. Il m’était dorénavant impossible de rester dans la même pièce que lui, si bien que je m’enfermais dans ma chambre pour ne plus jamais en ressortir dès que ma mère n’était plus avec moi – mon père, qu’aurait-il dit s’il avait compris le jeu du jeune homme ? L’aurait-il approuvé ? -. Un soir ou nous étions resté seul, et que j’avais gagné ma chambre comme à l’habitude, mon frère était resté derrière la porte, me causant comme l’aurait fait un ami, tandis que je retenais mes larmes, les mains planquée sur mes oreilles. J’aurais voulut de lui. S’il n’avait pas eut le même caractère, le même sang que moi, bref, s’il n’avait pas été lui. Mais il ne semblait pas comprendre, et il me répétait que ce n’était pas grave si nous avions la même mère, parce que lui, m’aimait. Je ne lui répondait qu’à ce moment là, pour lui dire que ce n’était pas réciproque, et je me taisais, essayant de m’endormir pour ne plus a avoir à vivre dans la même maison que lui, dans mes rêves du moins. Contrairement à ce vous pouvez pensez, il ne réussit jamais à me mettre dans son lit, même de force, parce que j’arrivais toujours à sortir de nos confrontation sans qu’il obtienne quoi que ce soit de moi. Je n’ai jamais su comment, mais tant que je réussissais à le fuir, tout allait bien.
Tout allait bien, jusqu’à ce que ma mère fasse un infarctus. Bien sûr, je me suis inquiété pour elle, bien sûr je me suis affolée, tremblant de peur, priant pour qu’elle ne meure pas, parce que je l’aimais. Vraiment. Mais dans ma situation, vous comprendrez que je me sois ensuite inquiété pour moi : un frère qui aurait bien aimé vous avoir pour lui d’une autre manière que sympathiquement, et un père, qui n’avais plus personne pour se défouler à présent, plus aucune femme sous la main… Sauf moi. Je ne sais pas comment j’ai réussit. Réussit à le convaincre de me laisser partir. Sans doute que, sa rancœur envers moi m’a sauvé la mise, et que, il préférait me voir loin qu’à ses côtés. J’ai donc eut la lâcheté de quitter ma mère pour me refugier au loin, ici. Qui donc de nous tous est le plus dégoutant ? Moi. Parce que j’ai abandonné la seule personne qui aurait pu avoir besoin de moi pour sauver ma peau.


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    autre : ici Eddy, me recevez-vous ?
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MessageSujet: Re: Savannah - i cant tell how this last song end   Savannah - i cant tell how this last song end EmptyDim 12 Aoû - 23:30

    Je me permet de m'auto valider parce que je le vaux bien et puis c'tout
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MessageSujet: Re: Savannah - i cant tell how this last song end   Savannah - i cant tell how this last song end EmptyDim 12 Aoû - 23:32

    La chambre n°4 est tienne, et essaye de ne pas éviter ceux qui la partage avec toi
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