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 Larenta E. Agnis, en route ! {En cours}

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MessageSujet: Larenta E. Agnis, en route ! {En cours}   Larenta E. Agnis, en route ! {En cours} EmptyLun 8 Oct - 18:40


AGNIS Larenta Emile




    âge : 16 ans pour une éternité. Enfin, si je me souviens bien de l'âge de ma mort. Bon, c'est un détail de toutes façons... Non ? Merci beaucoup...
    Nationalité : Père et mère sont japonais. Je suis japonaise.
    Rang : Bouuuuh ! Fantôme. ~
    Groupe : Populaires. Non, non, moi je flash pas sur moi-même...!



Caractère
Mon...? Mon caractère...? Oh, je vois. Vous voulez que je le décrive. Tout d'abord je suppose que nous devons dire que je ne suis pas vraiment simple à cerner. J'entends par là que je suis assez lunatique. Je suis capable de rire, avec tout le monde, de faire l'idiote pour les faire sourire, parce que leurs sourires sont précieux, mais je peux aussi en un temps record me mettre à crier, à m'énerver pour des broutilles. C'est idiot, dites-vous ? Hey, les gens ne décident pas vraiment de leur personnalité. Croyez-vous que j'ai choisi la mienne ? Enfin bref. La plupart du temps je reste cependant souriante. J'aime voir les gens sourire, être heureux, ne rien regretter. Les regrets ça vous mange de l'intérieur, ça vous tue à feu doux et puis à la fin vous n'êtes vraiment plus que l'ombre de vous-même avant de décider de sauter du toit d'un immeuble. C'est désolant, dévastateur, effroyable. Mais la vie ne l'est t-elle pas, au final ? Oui, parler de ça avec moi vous semblera étrange, mais pour moi c'est assez lamba. Ecouter les gens ne me gênent pas, du moment qu'ils finissent par partir avec un sourire aux lèvres. C'est précieux, un sourire. Il y a des moments où l'on ne peut pas se retenir de sourire, où l'on a envie d'éclater de rire même si ce n'est absolument pas le moment. Et bien ce sont ses réactions spontanées qui réchauffent mon pauvre coeur arrêté. Je ne veux voir personne pleurer, souffrir, se sentir seul. La vie est belle, importante, et il ne faut pas perdre de temps en s’apitoyant sur notre sort ! Si j'avais la chance de pouvoir revivre à nouveau, en temps que mortel, je sourirais encore bien plus, je rirais aux éclats même pour rien, je dirais milles fois aux personnes que je chéris qu'elles sont d'une importance cruciale pour moi. Il ne faut pas laisser le temps au temps de nous emporter. Pas avant d'avoir tout réaliser, avant d'avoir tout vu et tout dit. Oui, c'est précieux... Alors je n'hésiterais jamais à me mettre à chanter, danser juste pour faire sourire les gens. Je suis assez indiscrète, les personnes pouvant me voir me remarque généralement assez vite, et je dois avouer que j'en profite bien. Ce qui m'attriste reste de savoir que je ne peux rien faire pour les gens qui ne me voient pas. Je suis morte, ils sont vivants. Un coeur bat en eux, alors que le mien s'est figé. Nous sommes différents, éloignés par une barrière funeste. Quelle tristesse... Mais attendez-moi, patientez encore un peu, ne pleurez-plus, je promets de toujours faire de mon mieux pour vous rendre heureux. Par n'importe quels moyens.

Il m'arrivera de pleurer, de fondre en larmes sans que personne ne comprenne pourquoi. Oui, cela pourra m'arriver. Même si je ne suis plus vivante, je ressens encore la peine, les émotions, ce qui fait mal, ce qui fait du bien, ce qui rend triste et ce qui rend heureuse. Je sus fragile, cernée par mes affres, lorsqu'on me parle de ma mort. C'est effrayant, vous ne trouvez-pas, de vous imaginez finir comme moi ? C'était douloureux. C'était froid. C'était désagréable et ça me laissait en bouche un amer goût de solitude. Oui, je me sens seule. Très seule, éternellement seule. Parce que je suis à présent dans un monde qui n'est pas le mien... Les gens pourront me parler de ma mort, je sourirais et dirais que je ne m'en souviens pas, mais derrière je m'enfuirais en courant pour partir pleurer très loin, quitte à me noyer dans mes larmes. N'est-ce pas idiot, de continuer à pleurer ? Je ne dirais jamais que c'est un signe de faiblesse, parce que ça n'en ai pas un, mais je dirais toujours que pour les fantômes pleurer c'est un peu râler chez les vivants. Ça ne fait que raviver la douleur, sans rien donner de bien. Je songe parfois que j'aurais préféré ne pas revenir sur ce monde. Je songe parfois qu'il aurait mieux valut pour moi de rester là où j'étais, même si cela me faisais peur. Que pensez-vous qu'il y ai après la mort ? Et bien moi je détiens la réponse. Je ne la donnerai pourtant jamais. Vivez votre vie en repensant sans cesse au fin qu'elle pourrait se finir en une minute après votre réflexion. Je le dirais encore et encore, toujours et toujours, n'ayez jamais de regrets...! Ah, je ne vous l'ai pas dis ? J'aime la foule. J'aime les gens. J'aime les vivants. Les joues roses, le coeur battant, le souffle parfois court. Ah, quels doux souvenirs.

Aimer vraiment ? Pardon ? Ah, vous voulez dire, tomber amoureuse ? Non, merci. Je peux vous semblez froide à cet instant, mais il se trouve que j'ai mes raisons. Aimer... Aimer... Je sens la douleur refaire surface rien qu'en en parlant. Aimer... Aimer... Qu'une pareille passion, qu'une pareille fièvre m'envahisse me ferait perdre la tête, défaillir en un instant. Je ne suis pas prête. Ou, plus exactement, plus prête. Ne trouvez-vous pas cela difficile d'aimer ? C'est confier vos sentiments, vos pensées, ce que vous êtes, à quelqu'un qui pourrait tout aussi bien vous cajoler que vous arracher les ailes. Et les méchants sont un peu comme les serpents. On s'en rapproche, attirés, on les caresse, attendris, et ils nous mordent d'une morsure venimeuse, inoubliable, qui, même si elle n'est pas forcément physique, nous laissera un traumatisme inaltérable. Je ne veux pas aimer. Non, surtout pas aimer. C'est risqué. C'est vraiment dangereux, me comprenez-vous ? Et puis l'on peut bien se passer d'amour ! Non, non... Je me mens... On ne se passe pas d'amour, mais ce n'est pas pour autant qu'il faut se jeter dans les premiers bras ouverts que l'on voit. Et, parce que j'ai peur, parce que j'ai mal, je ne veux plus aimer. Plus pour le moment, en tout cas. Alors quand, allez-vous me demandez. Et bien je n'en sais rien. Naguère, mon coeur battait, sulfureux de cette flamme unique qui s'y était logée, mais désormais elle s'est éteinte. Et il me semble que plus rien ne la rallumera jamais. Je me sais responsable. Je sais que je suis celle qui l'étouffe à chaque fois pour pouvoir dire que ça ne résistera pas, que je ne suis pas faites pour la personne en face de moi, que je ne peux tout simplement pas aimer vraiment. Ne me jugez pas. Ne me plaignez pas. Je suis parfaitement bien comme je suis. Je souffre ? Oh, oui, bien sûr. Mais cette douleur est bien plus supportable que celle que j'ai déjà vécue. Je ne veux rien regretter, mais avancer et être encore blesser me donnerais des regrets. Ne pas avancer et ne rien faire m'en donnera aussi... Je vais tout vous dire, en deux simples phrases. Préparez-vous, vous ne m'entendrez pas milles fois : j'aimerais qui sera capable de faire battre à nouveau mon coeur, qui sera capable d'y faire brûler une si grande flamme que je ne pourrais plus l'éteindre par moi-même. Je n'aimerais que d'un amour fusionnel, intense et pur.

" Aaaaaah ! A l'aide, elle va me manger ! " Tel fut le cri du dernier muffin que j'ai avalé. Non, non, rassurez-vous, je l'ai rapidement achever. Et puis faire un voyage dans mon organisme c'est pas mal, ça apprend des choses, en direct, et c'est gratuit ! Même si le muffin, lui, n'était pas gratuit... On devrait être rémunérer de manger... Ah non, je comprends pourquoi ce n'est pas comme ça. Parce que les gens comme moi seraient riches ! Autant le dire, je suis gourmande. Mon estomac n'a pas vraiment de limite, enfin plus exactement elle n'est pas encore connue, et de ce fait je peux mange autant qu'il me plait. Pour moi, la nourriture c'est sacré. Quelqu'un qui ne veut pas manger un steak ? Je le lui fais avaler de force. Dites-vous que, si vous ne mangez pas, ce sera jeter, et donc on aura tuer la pauvre bête pour rien. Même si ça paraît grotesque, c'est pareil pour les légumes. Je pense que vous n'aimeriez pas qu'on vous exécuté pour vous faire être manger, et ce pour que, finalement, on vous fiche à la poubelle. Si ce n'est pas pour vous manger, vous auriez pu rester en vie, et bien je pense que c'est la même chose pour les animaux et les légumes, les fruits etc... Après, c'est sûr, il faut que ce soit un minimum comestible. J'entends par-là qu'il est... évident... que certains personnes ne savent pas cuisiner. Par pitié, ne laisser jamais quelqu'un massacrer de la nourriture sans rien lui dire, juste pour qu'il essaie. Aidez-le, au moins. Ché vraichent cha bien. Ah, pardon, j'avais un cookie dans la bouche. Donc, je disais, c'est vraiment pas bien. Alors mangez, sans jamais exagérer, et tout devrait bien se passer entre vous et moi ! Étrange ? Ah, oui, merci. Non non, pas d'panique, je ne le prends pas mal du tout, hein. C'est même un compliment, pour moi. Pourquoi ? Parce qu'être étrange c'est être en dehors du commun, donc, unique, donc, rare. C'est une manière assez originale de dire que je suis rare. Mais, vous savez, vous êtes aussi étranges, vous ! Comment ça je suis méchante...? Aaaah, ces vivants, jamais contents... {En cours}


Physique
Physique au moins 6 lignes


Histoire
- Mère... Père... A l'aide... J'ai peur... Il fait n-noir ici...

Il faisait noir, il faisait froid. Ce n'était absolument pas agréable. Ma peau entière était touchée par la morsure du froid. Je ne me souvenais absolument pas depuis combien de temps j'étais ici... Oui, j'avais juste oublier. J'avais oublier mais je ne savais même plus si j'avais un jour su quelque chose. Les pleurs que j'entendais alors, au loin, se firent en plus en plus petits, et bientôt je ne fus plus capable de les entendre. Peut-être les gens avaient-ils cesser de pleurer ? J'en étais heureuse. Oui, heureuse. Après tout, ils n'avaient pas a pleurer pour moi car j'étais... J'étais... Qu'étais-je, d'ailleurs ? Une idée se plantait dans ma tête, mais j'étais incapable de la distinguer, de la toucher rien que du bout des doigts. Oui, j'en étais certaine, j'avais oublié quelque chose. Et quelque chose d'important. Hey, dites, vous voulez bien allumer la lumière...? Non...? Ah oui, voilà, je m'en souviens maintenant. Ah, que c'est douloureux et triste. Mère, père, je suis navrée, vous ne me verrez plus, ou alors plus avec mes joues rosées. Comment vous l'annoncez ? Comment vous le dire ? Je pense que cela va être douloureux. Très douloureux. Car, oui, après tout, je suis morte...

J'ouvrais grands les yeux, essoufflée, dans un lit bien trop familier. Les draps glissaient à chaque mouvement contre ma peau, me laissant goûter avec délice à la douceur des tissus. Combien avaient-ils encore payer cela ? Juste pour me contenter, de plus. Je me redressai, attrapant d'une main le drap pour le ramener vers moi, histoire d'être un peu plus couverte. L'on toqua à la porte puis celle-ci s'ouvrit, lentement, sur une jeune demoiselle. Ses cheveux étaient couleur d'ébène, et ses yeux étaient d'un bleu profond et océanique. Je voyais par la fenêtre que la lune était encore en haut du ciel et que celui-ci était encore parsemé d'étoiles. La petite vint en trottinant jusqu'à moi et, par habitude, j'enfilais rapidement sous mes draps ma chemise de nuit pour l'inviter à me rejoindre dans mon lit. Quelle délicieuse petite enfant. Elle gardait tout contre elle son ours en peluche, ses yeux se fermant lentement sur sa fatigue. 6 ou 7 ans, pas plus, et elle tardait pourtant à aller au lit. Cependant, ce n'était pas une nouveauté. Chaque nuit, en plein milieu de celles-ci, elle se levait et venait dormir auprès de moi, même si les domestiques nous grondaient alors toutes deux au réveil en s'exclamant qu'il était incorrecte que l'on dorme ensemble. Je devais l'avouer : je m'en fichais. Non pas de sa présence, celle-ci m'enchantant, mais des commentaires des domestiques. Ils n'étaient vraiment bons qu'à faire la moral, sans écouter les explications. Et tous cherchaient à s'attirer les sympathies de mes parents, ce qui avait la palme de m'agacer. Je n'étais rien de plus qu'un objet. Je n'existais pas. Je n'étais née que pour être mariée et sauver les ressources de la famille, pour faire à nouveau monter notre nom. Ma famille était puissante, oui, mais les années l'avaient abîmée; et j'étais alors la dernière chance de mes parents pour faire à nouveau dorer notre existence. Et pourtant cette enfant, si délicate, venait chaque nuit auprès de moi sans rien dire, sans rien demander, juste en venant poser sa tête contre ma poitrine pour écouter les battements de mon coeur.

- Dis, grande soeur, es-tu heureuse ?
- Pardon ?

Par réflexe, je laissais mes yeux s'arrondir. Je restais littéralement ébaubie d'entendre cette question sortir de ses petites lèvres d'enfant. Sa voix était si aiguë, si adorable... Je passais tendrement mes bras autour d'elle, l'attirant un peu plus à venir se blottir contre moi, et lui caressais les cheveux. Je ne pouvais pas dire la vérité. Mais je ne pouvais pas non plus lui mentir. Il n'y avait pas milles solutions... Mes lèvres tremblaient, mon corps perdait un peu de sa chaleur et je ne me sentais pas le courage de dire la phrase que j'avais pourtant le devoir de dire pour lui répondre. La laisser sans répondre pourrait être une torture. Et il était hors de question pour moi de laisser cette petite souffrir. Mon coeur accélérait, mes mains venant à trembler à chacune des caresses que j'appliquais à ses cheveux pour la rassurer, elle, autant de moi-même.

- Je suis heureuse tant que tu es avec moi, Luna.
- Alors je serais toujours avec toi, grande soeur !
- Toujours toujours... C'est une promesse, d'accord...?

Les larmes me montaient aux yeux, lentement, venant finalement en déborder. Mon coeur chavirait, bouleversé des grandes vagues de tristesse qui s’abattaient sur lui. Je me savais d'avance destinée à autre chose. Je n'avais pas le même chemin qu'elle à suivre. Et, au bout de bien trop peu de temps, nous serions séparées l'une de l'autre. Et pourtant je m'attachais à elle. Mon coeur était irrémédiablement appelé par le sien, cherchant à chaque instant à pouvoir savoir s'il battait convenablement, s'il souffrait ou s'il était heureux. Je ne devais pas m'attacher à elle, mais je le faisais tout de même. Je la perdrais, j'aurais mal, elle aurait mal elle aussi. Mais le bonheur que nous éprouvions à cet instant effaçait toutes nos peurs, tous nos doutes, et il ne restait plus que la tendresse et l'amour qui nous partagions. Ma si aimée petite-soeur... Si seulement elle avait pu savoir, découvrir, à quel point elle était précieuse à mes yeux. Elle était un si clair rayon de soleil dans mon monde sans couleurs, si sombre, qui m'engloutissait peu à peu dans ses ténèbres. Moi, j'étais finie. J'étais obligée de suivre ma route. Mais elle m'en détournait avec tant de candeur et d'innocence que je ne pouvais que me laisser faire, même si je savais que ce n'était pas bien. A nouveau, sa tête se posait délicatement contre ma poitrine et je continuais alors à caresser ses fins cheveux noirs. Son souffle ralentit doucement, venant à devenir celui d'un sommeil et elle s'assoupit là, contre moi. Je levais légèrement la tête, retournant à contempler le ciel au-dehors de la porte-fenêtre. Les étoiles se voyaient tant, s'en était fascinant. Fatiguée, remuée de tous mes sentiments, je m'endormais à mon tour rapidement... { En cours }



And you ?
    âge : J'ai eu mes 14 ans en juin dernier. Oui, oui, je l'avoue, je suis une gamine. *tire la langue*
    comment avez-vous découvert le forum : J'ai appuyer au hasard je sais plus trop où et ça a refuser de se fermer, j'ai visiter, j'me suis inscrite. Oui, c'est débile. Mais remerciez mon ordinateur, hein. x')
    comment le trouvez vous : Ché meugnon. *jeconnaislasortie.com*
    code : Larenta !
    autre : Alouette, gentille alouette. Alouette j'te coup'rais la tête. ~ *chantonne*


Dernière édition par Larenta E. Agnis le Lun 15 Oct - 22:32, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: Larenta E. Agnis, en route ! {En cours}   Larenta E. Agnis, en route ! {En cours} EmptyMar 9 Oct - 6:21

    Hello hello ! :D

    Fiche qui a l'air prometteuse, je te laisse la continuer. Préviens-nous dès que tu auras fini ! ♥

    ( Eh pourtant il y a bien un code ! Cherche mieux. è_é )
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MessageSujet: Re: Larenta E. Agnis, en route ! {En cours}   Larenta E. Agnis, en route ! {En cours} EmptySam 13 Oct - 13:46

    Bienvenue à toi o/
    Si tu as besoin de quoi que ce soit n'hésite pas !
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